Nous avons fait 3 jours de trekking. Cela faisait du bien de changer d activité et de découvrir le pays autrement. Nous sommes partis au nord de Rantepao et sommes revenu au Sud ouest. Le guide nous a emmené à traverd les rizières, en évitant un maximum les grandes routes. Nous nous sommes souvent retrouvés entre deux terrains de rizière sur un petit chemin, une sorte de digue en terre large de trois largeur de pieds et parfois nous avons passe d une terrasse de riz à la suivante en se cramponant a l herbe et en découvrant des cailloux pour poser les pieds. C était très chouette de se retrouver comme cela au milieu des rizières, certaines très vertes d autres plutôt jaunes. Tout d un coup, il y a un t shirt rouge au milieu de tout ce vert : c est un enfant qui coupe de l herbe pour le buffle. 

Des buffles on en a croise d ailleurs un certain nombre.  Couché dans la boue, avec juste la tête qui dépasse de la rivière, attaché à un bambou avec la tête en hauteur pour fortifier la nuque ou dans leur étables en bambou. Il y en a des unis des tachetés , des buffles avec de beaux yeux bleus clairs.  Les plus chers peuvent coûter jusqu à plusieurs centaines de million de roupies mais en général 30 à 40 millions de roupies. 

Nous avons aussi vu les locaux moissonner le riz et le battre. 

Au cours de ces hors nous avons traversé de nombreux villages traditionnel où les familles ont leurs greniers de riz , leur tonkonan et maintenant aussi souvent une maison en bois sur pilotis à côté. 

Nous avons eu la chance de dormir les deux sors dans leur maison traditionnel. Le premier soir, nous logions chez une famille au bord d un village. Nous ne voyions we les maisons de cette famille. Autour c était la nature. Ils étaient en train de construire un deuxième tonkonan avec ses échafaudages en bambou. Après une bonne journée de marche nous avons profite d être posé sur la plâtre forme du grenier à riz pour boire le thé discuter bouquiner et observer la préparation du papiong. C est un plat local ou les ingrédients sont mis dans un bambou avant de le cuire sur un feu en le tourant régulièrement. C était trop bon. Le soir un ciel d étoile nous accompagnait. Vers 20h30 nous étions au lit contents de avoir une couverture en plus de notre veste car il faisait un petit peu frais. Au milieu de la nuit les coqs de la région se sont relayé pour chanter à tour de rôle avant de faire une pause et de reprendre.  

Le deuxième soir c est une famille qui nous accueille à l improviste car le logement prévu par le guide ne nous convenait pas. Et c était super. C est la première fois qu ils logeaient des touristes et il y a eu un vrai échange. Nous avons très bien dormi et c’est l oncle qui nous a accueilli dans son tonkonan ou il dormait aussi. La aussi nous avons très bien mange.heureusement cette fois à l intérieur car des la fin de la journée il fait frais. C était super. À 18h50 on était au lit sous  un duvet bien au chaud sur une natte rembourrée. Et comme il y avait l électricité on a même pu bouquiner un peu. C était une très belle expérience. 

Au début du trekk nous avons eu la chance d assister à une cérémonie funéraire plus modeste que la première qui se déroulait que sur un jour. Quand nous sommes arrivés, les buffles avient déjà été tué et reposaient sur des immenses feuilles de palmiers. Certains avaient encore la peau f autres étaient en train d être taille en morceaux. Il y avait aussi des cochons certains déjà morts d autres vivants et d autres tués devant nos yeux. Et à côté de cette boucherie à ciel ouvert. Les gens boucanent du the, discutent, jouent aux cartes et attendent le repas de midi. 

La societe est hiérarchisée structurée et il y a tout un rituel de partage de la viande entre les personnes présentes mais aussi de rendre la pareil lorsque son tour vient. 

Au détour d un chemin nous avons croise un local le deuxième jour qui nous a proposé de le suivre à un combat de coq.